En naviguant au fil des pages, on découvre un homme enthousiaste, humble et altruiste, généreux dans son art autant qu'il l'est dans la vie. « La beauté est la forme que l'amour donne aux choses » disait Rodin. J'ai ressenti cet amour créateur en filigramme tout au long de ce périple où chaque page qui se tourne est une nouvelle vague qui s'échoue sur le rivage de nos sensibilité. Le coeur de l'artiste est grand : c'est là que sa muse, son modèle, son étoile a élu domicile. Au fait, je me suis demandé pourquoi Jean Claude Courchay avait choisi des pages noires pour y coucher ses tableaux comme le poète couche ses vers sur la page blanche. Cette nuit des toiles n'est-elle pas plus étincelante dans le firmament de nos rêves ?
Jean-Michel Copin
Merci aux journalistes et correspondants qui suivent Jean Claude Courchay |
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